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Doctor Strange

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Un jour d'Automne, un après-midi sans rien à faire de particulier, une envie de ciné... Voilà l'occasion d'aller voir ce Doctor Strange dont la bande-annonce, plusieurs fois vue cet Eté à la faveur de mes rounds de blockbusters, m'avait je dois le dire alléché. Résumé :  Le docteur Stephen Strange est un brillant neurochirurgien, peut-être le meilleur au monde, le seul capable de voir qu'un patient en état de mort cérébrale n'est peut-être pas tout à fait mort, et surtout le seul assez habile pour extraire une balle coincée entre l'encéphale et le tronc cérébral du même patient... Médecin ambitieux - et sans doute même un peu trop - et imbu de lui-même, il voit son univers basculer à la faveur d'un grave accident de la route qui le laisse handicapé des mains. Déclaré perdu par la médecine officielle, mais déterminé à redevenir lui-même, le voici parti pour le Népal à l'a recherche d'une guérisseuse capable de miracles dont lui-même n'

Peter et Elliott le Dragon

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J'ignore si ce film, que j'ai vu lors de la séance qui a précédé celle de Star Trek sans Limites , peut se qualifier comme un blockbuster estival : visant d'une façon aussi claire qu'affirmée un public familial, j'ai trouvé que pour un jour de sortie les rangs de la salle étaient plutôt clairsemés, y compris en termes de jeunes spectateurs. Qu'il soit dit ici, avant de commencer la chronique stricto sensu , que je pense que la mauvaise habitude prise par Hollywood de faire des suites, des préquelles, des reboots et autres remakes, est sans doute en train de produire ses effets : le public attend du neuf ! Résumé :  Peter a cinq ans, il apprend à lire, et pour l'heure il part en vacances avec ses parents. Mais un accident de voiture le piège au coeur d'une forêt impénétrable, à la merci des loups et des ours qui vivent dans la région... Par chance pour lui, la forêt abrite un dragon débonnaire, au pelage verdâtre et doué d'invisibilité, qui se

Star Trek sans Limites

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Star Trek , à nouveau. Je rappellerai ici que je ne suis pas un "Trekkie" : même si j'ai eu l'occasion de voir quelques épisodes de la série des années 60, je considère depuis longtemps que dans cet univers le S de SF doit se comprendre comme celui de soap , car les relations entre les personnages viennent jouer un rôle fondamental dans le développement de l'intrigue, devant même le contenu science-fictif. Le premier de cette nouvelle série, jamais chroniqué sur ce blog, ne m'avait pas déplu. Le deuxième , très mauvais moment de cinéma, ne m'avait pour autant pas dégoûté de cet univers puisque j'ai eu le plaisir, un peu plus tard, de regarder deux des films tournés dans les années 1980 avec un certain bonheur. C'est donc avec l'oeil d'un amateur pas très éclairé que je me suis rendu au cinéma pour voir celui-ci. Résumé :  L' Enterprise , au cours de son voyage de cinq ans aux confins de la Fédération, fait une escale sur une sta

Independence Day : Résurgence

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Independence Day , pour moi, c'est avant tout une série de souvenirs. Octobre 1996 : j'ai seize ans, je suis en Terminale S, et plusieurs de mes camarades de classe organisent une sortie au ciné un Vendredi soir pour aller voir ce blockbuster. Manque de pot, j'ai une leçon de conduite le lendemain à soixante bornes et du coup, je n'y vais pas... et je découvre à huit heures le lendemain que mon moniteur, souffrant, annule la leçon. Furieux, je suis le premier à lancer parmi mes amis l'idée d'aller voir le Mars Attacks de Tim Burton puis Le Cinquième Elément de Luc Besson - mine de rien, 1996-1997 avaient été des années riches en sorties space-op' au ciné. Je me jette sur la novélisation d' Independence Day aussitôt parue. Et, pendant l'Eté, je me procure la cassette vidéo à peine sortie : l'idée, c'était de faire disparaître la sensation d'avoir manqué quelque chose à cause d'une leçon de conduite en fin de compte annulée... Qu