Let the Word take Me


A nouveau un planet-op' en nouvelle, apparaissant dans Analog de Juillet/Août 2008.
Résumé :
David est un adolescent que son père, un linguiste célèbre, a emmené sur la planète des Gariniki, des humanoïdes à la peau semblable à celle d'un gecko. Bien que leur langage soit désormais compris, les Gariniki n'acceptent pas de communiquer avec les êtres humains qui leur adressent la parole dans leur langue... C'est à tel point que la hiérarchie scientifique de l'expédition prend la décision d'évacuer la colonie, ce qui va livrer les Gariniki, paisibles primitifs, au pillage de leurs ressource naturelles par des groupes de pirates. David pourra-t-il, dans les trois jours qu'il reste avant l'évacuation, trouver la solution du problème sur lequel son père et son équipe s'arrachent les cheveux depuis si longtemps ?
J'ai un faible pour les histoires où l'on fait interagir un enfant humain, ou un adolescent, avec un juvénile extraterrestre. Bien souvent, la rencontre permet de faire disparaître pas mal de cette incompréhension qui règne entre les adultes des deux espèces. Ici, la rencontre entre David et Allayo est présentée d'une façon assez peu originale et pourtant, elle frappe juste. En fin de compte, c'est David qui va comprendre le sens social que joue le langage de cette espèce. Et il va être le premier humain à parler ce langage pour de vrai.

Une conclusion en forme de symbole magnifique. J'ai beaucoup aimé.

(Article planifié le 21 Septembre.)

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